J’ai lu ce livre après avoir lu l’article d‘Alec, alors, ça remonte un peu mais il m’a été long de faire une chronique, deux mois que cet article traîne misérablement !
Alysia Abbott, Fairyland, Éditions Globe, 2015, 384 pages.
Le livre a pour morale l’histoire gay en tant qu’histoire de tous, précepte avec lequel je suis entièrement d’accord, mais qui est bien le seul intérêt de ce livre. Sous couvert de cette belle morale, là pour éveiller quelques consciences obscures et embrumées, le livre fait belle part au narcissisme. Une autobiographie qui passe très (trop) rapidement sur, justement cette histoire gay, et ce père qui en est un acteur archétypal et fondamental.
Un bel ode à l’art et à la tolérance ceci dit.
Un livre, sinon, pas désagréable, mais qui ne mérite pas autant de pages autocentrées.
Dommage…
Au moins, tu as le mérites d’avoir terminé ce bouquin!
Oui ! Puis il a de bons côtés… Mais pour moi il ne fait pas ce qu’il vend !