Nous l’aimons tant, Glenda – Cortazar

J’ai découvert l’édition bilingue de ce livre. Car, si je ne vais pas en vacances, les vacances viendront à moi ! Même si déchiffrer de l’espagnol dans le métro n’est peut-être pas le meilleur moyen de se retrouver à la plage.

Julio Cortazar, Nous l’aimions tant, Glenda, Folio Bilingue, 1999, 144 pages.

product_9782070407545_195x320Je pense être totalement passée à côté de cet ouvrage. Cependant, j’aurais grandement apprécié découvrir sans doute d’autres œuvres de son cru. Du moins, c’est ce que j’ai pensé après mes petites prospections pour écrire cet article.

Julio Cortazar est un grand écrivain de la littérature argentine qui a vécu en France, la préface présente son œuvre comme saupoudrée de fantastique, particulièrement adressée aux fans d’astrologies ou de tables qui tournent… Pourtant, cela ne m’a pas tant paru fantastique bien que les histoires soient étranges. Je pense malheureusement ne pas avoir accroché.

Ce livre est un recueil de nouvelles. D’abord, une nouvelle présente un groupe épris d’une actrice. Entre drame sentimental et dessous du cinéma. La seconde est sans doute ma préférée : une maîtresse de maison et sa servante, histoires d’amour et trahison, on ne saura jamais entre folie et désespoir ce qui a réellement été en jeu. La dernière, à nouveau sur le thème de l’amour, mais ici du street-art également. C’est celle que j’ai le moins aimé et pourtant qui est peut-être la plus intéressante. Elle parle en effet de répressions policières et de l’Etat dictatorial, de l’artiste brimé…

L’édition est très agréable et illustrée. Mais voilà, autant de thèmes, arts et passions, qui ont de quoi séduire, et pourtant.

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