En admiratrice de Fréhel, j’avais tout de suite repéré ce roman graphique. Chanteuse d’un Paris réaliste, c’est pourtant de Piaf qu’on se souvient le mieux, même si l’une et l’autre n’ont rien à s’envier. Elle aussi on l’appelait « la môme », sans doute, à l’époque, à cette aube du XXe, c’est comme ça qu’on désignait une…